Outils pour utilisateurs

Outils du site

Writing /var/services/web/lankou/data/cache/4/4a1117e670333086010b2be8bfe83f40.i failed
Unable to save cache file. Hint: disk full; file permissions; safe_mode setting.
Writing /var/services/web/lankou/data/cache/4/4a1117e670333086010b2be8bfe83f40.metadata failed

oecumene:le_sanctuaire_des_guerrieres

Le sanctuaire des guerrières

 MJ: Yann S
 Flavius Perandum,Mystic par Vincent K
 Dumacar,Nightblade par Yann P
 Znoradan,Sorcerer par Jean Yves

Notre ami Dumacar reçoit un message de son vieux Maître, qui lui demande de se rendre à Altaïr. Il y fait la connaissance de Ae Agg, une femme vétue d’une armure étrange, qui lui propose de se rendre sur l’Ile des Mavaé pour rebatir l’oeuvre de son père sabotée récemment. Evidemment, Dumacar tombe des nues, et se presse d’accepter, ainsi que ses comparses.

Le voyage se passe de manière «onirique», ils sont endormis lors de la traversée. Ils ont l’occasion de papoter avec Ae Agg, qui répond à leurs questions au sujet des Mavaé. (cf la page sur les Mavaé). L’île, Heykia, est de type volcanique, avec moultes cavernes et des nuées de batiments à fleur de rocher au pied desquels gambadent de sveltes voiliers et autres navires. Le temps du trajet est aussi mis à profit pour apprendre la langue des Mavaé, l’aggin, via de surprenants artefacts magiques, de petits cônes auprès desquels il suffit de méditer pour en absorber la substantifique moelle.

Une autre Mavaé les accueille, une certaine Monerl et ils doivent répondre à une convocation de la Reine. Ils y apprennent qu’une statue créée par le père de Dumacar aide à maintenir l’île dans un isolement tout ce qu’il y a de plus protecteur via des brumes mystiques, or celui-ci a été abimé récemment et seule l’union des meilleures magiciennes de l’île permet aux brumes de résister.

Une cérémonie de plusieurs jours est prévue pour Dumacar au Temple de l’île, ce temps est mis à profit par ses collègues pour approfondir la culture locale. Lors de cette cérémonie, Dumacar rencontre psychiquement son père, émotion et trouble se mêlent dans son petit coeur fragile, et son père lui permet de réparer la statue.

La mission ici accomplie, la Reine les charge d’enquêter à Altaïr, elle et ses conseillers soupçonnent une cabale de magiciens mal-intentionnés d’avoir perpétré ce méfait. Elle remet à Flavius une dague, Yvelmââr, ainsi qu’un anneau qui les dissimulera des «vils nécromanciens». Dumacar, quant à lui, demande à Monerl de les accompagner.

De retour à Altaïr, Dumacar apprend avec effroi que son vieux maître a été agressé par 8 hommes, heureusement, il s’en est sorti. (normal, c’est le Maître…) Il leur a même gardé un des agresseurs «au chaud» pour interrogatoire. Après quelques baffes à fin de persuasion psychologique, l’homme de main leur révèle qu’il a été recruté à l’auberge de la Licorne, par un personnage vétu d’une tenue bariolée et d’un tricorne.

Ils enquetent sur ce personnage et ô hasard, apprennent qu’un certain Abrech War, un bouffon très en vue et apprécié par l’Impératrice, organise une fête costumée à son domicile dans 2 jours. Ils mettent ce temps à profit pour lancer leurs contacts, la Mémoire à Lankhmar via un Messager d’Hermes, et Helena Tropir de la guilde des Voleurs qui venait de finaliser la libération de son élève Angora (cf Scénario précédent). Ceux-ci ne leur sont pas d’une grande aide, la seule chose au sujet de Abrech Ware concerne l’exubérance de ses fêtes voire leurs cotés orgiesque.

Nos PJ s’y collent, et en effet, ils constatent que la fête est plus que délurée. Monerl est choquée par la débauche affichée dans les alcôves. Les gens font plus que s’amuser, sans retenue aucune, poudres et ébats sont de rigueur.

Flavius surprend une conversation entre le bouffon et un homme non identifié et relative à des substances de type, comment dire, non autorisées. L’hôte de ces lieux s’éclipse de nouveau, toujours suivi à la culotte par les PJ jusqu’à son bureau. Mais hélas, ils se font remarquer et entament la discussion avec Abrech Ware sous l’oeil avisé de cerbères patibulaires. Dumacar révèle de manière un peu cavalière que Monerl est une Mavaé, à la grande colère de celle-ci et à la grande jubilation de leur hôte. Il les fait escorter à l’entrée de sa villa, et ils peuvent rentrer indemnes jusqu’au Monastère du vieux maître. Et ce qui était craint par les PJ se produit durant la nuit, Monerl est enlevée. C’est néanmoins le moment que choisi Héléna pour réapparaitre, et rassurer les PJ car elle a vu les ravisseurs et connait la direction à suivre.

Ils se précipitent mais ne peuvent que constater qu’un navire a déja appareillé, voguant vers l’île des Mavaé supposent-ils à juste titre. Ils foncent vers bateau Mavaé, avec la problématique de connaitre la route vers Heykia. Le sieur Flavius communique alors avec l’esprit habitant Yvelmââr, qui se révèle être apte à les diriger et aussi avoir un sens de l’humour de type taquin. Et ainsi l’on vit Flavius grimper au mat du navire dans le plus simple appareil, pour satisfaire la lubie de Yvelmââr.

Cette petite chose étant faite, la poursuite navale s’engage, mais ce n’est qu’aux abords de Heykia qu’ils aperçoivent le bateau poursuivi en plein naufrage. Ils filent vers le palais, et y pénètrent juste au moment où la Reine Eyergue achève Abrech Ware dans un flot d’incantations magiques. Monerl git quant à elle sur le sol de la salle du trône, visiblement torturée. Elle exige de Dumacar ses plus plates excuses et ce devant la nation Mavaé toute entière.

Ainsi fut fait, Monerl lui pardonne (il l’espère), et les accompagne à Altaïr où elle leur servira de contact.

oecumene/le_sanctuaire_des_guerrieres.txt · Dernière modification: 2019/09/12 14:52 (modification externe)